Aucun produit
Votre article a bien été ajouté au panier
5€ offert dès 20€ d'achat avec le code BONNEFETE5, jusqu'au 18/06 ! 📦 Livraison assurée dans le monde entier 🌎 Offerte à partir de 60€ (France) 🚚
5€ offert dès 20€ d'achat avec le code BONNEFETE5, jusqu'au 18/06 ! 📦 Livraison en France (offerte à partir de 60€) et dans le monde entier 🚚
Votre article a bien été ajouté au panier !
La Likouala, d’où provient ce poivre sauvage, est un département de la République du Congo faisant partie du deuxième poumon après l’Amazonie, source majeure d’oxygène et d’eau. Ce poivre pousse naturellement dans la forêt, sous forme de lianes s’agrippant aux arbres. Les gorilles et les serpents font partie intégrante des cueillettes qui peuvent s’avérer dangereuses. Avant d’effectuer une récolte, la population autochtone Baaka utilise des mangoustans (fruits) qu’ils dispersent un peu partout afin d’éloigner les gorilles, plus attirés par les fruits que par les humains.
La période de floraison commence à partir de la fin du mois mars jusqu'au début du mois de juillet la récolte du poivre noir en grains mature commence à partir de la deuxième semaine du mois d'août
Bien qu’ayant accès à la technologie des téléphones portables, les Baakas sont une des dernières tribus « chasseurs-cueilleurs » du Congo. Notre récolte provient du petit village de Mobangui.
Le poivre de la Likouala est un poivre qui peut s’utiliser partout en cuisine. Contrairement au poivre noir, il supporte très bien la cuisson et ses arômes ne sont pas altérés par celle-ci.
Vous pouvez l’utiliser ainsi dans les plats mijotés mais aussi comme un poivre de de service. Il se mariera très bien avec les produits de la mer, accompagnera volontiers les légumes, féculents et viandes.
Les Baakas que l’on appelait autrefois Pygmées, vivent et chassent dans les forêts depuis environ 5 000 ans au sud-est du Cameroun, au nord de la République du Congo, au nord du Gabon et au sud-ouest de la République centrafricaine.
Ils se retrouvent de plus en plus sans abri à cause de l'abattage des arbres et de la destruction des forêts. Les forêts tropicales habitées par les pygmées s'épuisent rapidement en raison de la production de bois et de l'exploitation minière. Attirés de plus en plus par la ville, le peuple Baaka subsiste encore néanmoins grâce aux ressources de la forêt qu’on leur laisse de disponible.